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il y a 8 ans
Florence portait le prénom féminin que je préfère entre tous.
Florence portait plus que joliment ses dix-neuf ans.
Florence était une jeune femme assez petite, toute menue mais très belle de visage et de corps, et pleine d’assurance.
Florence se savait belle et savait que les hommes la trouvaient belle.
Florence, on ne pouvait la voir sans l’admirer, sans vouloir l’approcher, la connaître, entendre sa voix.
Florence, il était impossible de ne pas la désirer.
Florence était brune et gardait les cheveux longs ; ils lui descendaient jusqu’aux reins et s’irisaient de reflets bleus, aile de corbeau.
Florence ne portait jamais de pantalon, sauf pour le sport.
Florence était sexy dans ses jupes courtes et colorées, évasées en bas, qui dansaient autour de ses jambes galbées.
Florence aimait porter des hauts ajustés, parfois quelque peu diaphanes, qui moulaient sa poitrine et la mettaient en valeur.
Florence aimait les profonds décolletés s’ouvrant sur des soutiens-gorge à balconnet.
Florence préférait le porte-jarretelles et les bas aux collants ; elle privilégiait la Féminité contre l’aspect pratique.
Florence était mon amie et, comme j’avais cinq ans de plus, elle me prenait pour confident.
Florence me confiait des secrets de sa vie qui me faisaient mal.
Florence avait commencé à prendre la pilule… et des amants à seize ans, avec le consentement de sa mère, seule au foyer.
Florence me parlait de ses amants et ce qu’ils faisaient ensemble ; elle feignait de ne pas s’apercevoir du trouble extrême où ses mots me plongeaient… ou bien s’en moquait.
Florence m’annonça un jour : « Comme je t’aime bien et que tu es gentil, serviable et sérieux avec moi, je vais prochainement t’autoriser à me caresser, mais à ma façon. Présente-toi chez moi lundi, à 10 heures. Sois exact car je déteste les hommes en retard et ne manque pas un seul jour car je déteste les hommes qui ne tiennent pas parole. »
Florence, après cela, me reçut chaque matin, de 10 heures à midi, dans le studio de Montmartre que lui payait sa mère et dont elle m’avait remis la clé.
Florence prenait d’abord son petit déjeuner que je lui servais au lit.
Florence me plaisait tant, et j’étais si étonné et privilégié de me trouver si près d’elle, dans ses odeurs et son parfum, que je pris l’habitude me tenir à genoux à son chevet et que je fus content qu’elle me fît rien pour m’en empêcher ; au contraire, je me persuadai vite que si un matin je m’étais abstenu de m’agenouiller, elle s’en serait sentie contrariée, blessée dans son amour-propre peut-être.
Florence me parlait de ses amoureux et de ses séances érotiques tout en mangeant lentement ; elle me rendait malheureux sans s’en apercevoir ou sans en tenir compte.
Florence, lors du premier lundi, une fois qu’elle fut rassasiée et que j’eus débarrassé le plateau, me dit : « Comme je te l’ai annoncé, aujourd’hui, par faveur exceptionnelle, tu vas me caresser, ce que tu n’as encore jamais eu le bonheur de faire. Pour commencer ton service auprès de moi, je veux que tu t’occupes de mes pieds. Moi, je vais lire. Ramasse-moi la revue que j’ai jetée hier au soir sur la carpette. »
Florence se plongea dans la lecture du magazine, pendant que je dégageais ses pieds des draps et me penchais sur eux.
Florence avait des pieds petits et beaux que je lui baisai et léchai avec passion ; je suçai longuement chacun de ses orteils, comme si ce fussent des bonbons, et passai ma langue entre eux.
Florence interrompait de temps à autre sa lecture, écartait la revue et me regardant faire ; elle me parlait de ses galipettes de la veille au soir, avant de se replonger dans un article.
Florence m’ordonna : « En même temps que tu t’occupes de mes mignons petons, masse-moi les mollets sous mon déshabillé. »
Florence, au bout de près d’une heure, me repoussa du pied, sans b r u t a l i t é ; elle conclut que je ne me débrouillais pas trop mal et que, jusqu’au dimanche suivant, je lui donnerais cette caresse tous les matins, et celle-là seulement, car je n’aurais droit à rien d’autre.
Florence dit : « J’espère que ta technique s’améliorera encore. Je te conseille de consulter une masseuse. »
Florence, le lundi suivant, m’annonça que, pendant la semaine à venir, je devrais m’occuper de ses seins et d’aucune autre partie de son corps ; elle ajouta toutefois : « Tu peux laisser tes mains se promener où tu veux sur moi, mais ta bouche et ta langue doivent rester sur ma poitrine. »
Florence avait des seins plutôt menus mais très fermes, qui redressaient fièrement leur tétons sous ses corsages serrés ; je soulevai, baisai et léchai leur bel arrondi contre lequel s’écrasait mon visage ; je suçai et tétai leurs pointes, je les enveloppai et les titillai de ma langue tout en palpant de mes paumes prudentes la peau douce, tiède et réactive de ce corps tout en sensualité. Et Florence me parlait de ses amours.
Florence, pour la quatrième semaine, se coucha sur le dos et m’ordonna : « Cette fois, c’est mon ventre que tu vas honorer. » Et j’honorai son ventre, de mes doigts, de mes lèvres de ma langue, et Florence me parla de ses cinq à sept.
Florence, quand fut venue la cinquième semaine, s’allongea sur le ventre et dit : « Occupe-toi maintenant de mes fesses et de mon cul. » Je léchai et baisai la douce vallée et fis vibrer la pointe de ma langue à l’entrée de son anus, pendant que mes mains erraient sur les cuisses bien tendres sous leurs muscles et que des tressaillements de plaisir diffus agitaient la chair de Florence qui me parlait de ses voluptés.
Florence, au premier matin de la sixième semaine, me dit : « Tu vas certainement être très heureux car voici enfin le moment où tu vas pouvoir te concentrer sur les caresses à donner à mon sexe. Mais il faudra que chaque jour tu me mènes à mon plaisir avec ta langue, sinon je cesserai toute relation avec toi. Te voilà prévenu. »
Florence m’ouvrait ses cuisses et nouait ses jambes à mon cou, ses talons battant dans mon dos
Florence jouissait avec f o r c e mouvements et f o r c e cris et j’étais à la fois heureux pour elle et confiant pour moi.
Florence, à la fin de la sixième semaine, ayant bien joui de ma bouche, me commanda : « Viens au rapport lundi, à la même heure que d’habitude. »
Florence, ce lundi-là, prit son petit déjeuner du plateau que, selon notre rituel, je lui avais présenté à genoux, puis elle se mit à manger calmement, sans me regarder ni dire un seul mot.
Florence me fit signe d’ôter le plateau tout en s’essuyant la bouche, puis elle m’annonça : « Tu es vraiment un gentil garçon et je suis contente de ton service. Pas un seul de mes amants n’est aussi doux ni aussi prévenant que toi, et aucun ne me caresse aussi bien. Tu as fait tout ce que je t’ai demandé, sans rouspéter, sans rechigner et en plus tu l’as toujours bien fait, en respectant ma volonté. Et tu m’as donné beaucoup de plaisirs… »
Florence se tut et me regarda. J’étais agenouillé à la tête de son lit ; je levai mon visage vers le sien et crus lire une sorte d’amour, ou du moins d’affection, dans ses beaux yeux ; cela m’encouragea à prendre la parole.
« Florence chérie, tu viens de dire que tu as apprécié mon obéissance et mes caresses et que j’ai réussi à te contenter. Mais toi, tout en me racontant tes ébats sexuels, tu ne m’as jamais demandé ce que je ressentais en ta présence, en te caressant, en cherchant de mon mieux ton plaisir ; tu as même fait comme si tu ne remarquais pas que, à ton côté, je ne cessais de bander !… »
Florence rit de bon cœur et répondit : « Bien sûr que si, grand nigaud, je sais bien que tu avais la trique tant que tu restais chez moi… et sans doute après aussi… Mais puisque tu en parles, je voudrais que l’on puisse remédier à cette situation : quand tu viendras dorénavant, tu devras porter une cage de chasteté. »
Florence vérifia la fois suivante que je portais bien la cage que j’avais achetée, et que mon sexe était bien réduit à l’impuissance totale tandis que je massais ses jambes, et qu’elle me racontais par le détail comment elle s’y prenait pour faire une fellation à ses amants.
Florence, une autre fois, me demanda si je gardais la cage après être venu la servir, et je fus embarrassé pour lui répondre. Je dus avouer que c’était ce que j’essayais, mais que je n’y arrivais pas toujours… Elle sorti un cadenas tout neuf, dans son emballage, et me dit : « montre moi ta cage, et donne moi ta clé. Je vais juste changer le cadenas pour le mien, et tu pourras ensuite vivre pleinement ta chasteté sans te poser de questions inutiles … ».
Florence semblait heureuse, les fois suivantes, de mon sacrifice, et me proposa de faire venir un de ses amants la prochaine fois que je serais là, pour me montrer son art de la fellation. La m o r t dans l’âme, je l’acceptais…
Florence se pencha hors du lit et flatta de la paume le haut de mon crâne ; ce geste tendre et doux me donna du courage et je lui demandai : « Mais alors pourquoi tout ça, ma Florence ? Pourquoi toutes ces caresses, toutes ces histoires de beaux jeunes gens qui te prennent, qui te font jouir et que tu laisses jouir ? Pourquoi me contraindre à la chasteté ? Et maintenant m’imposer de te voir faire l’amour ?Tu m’as imposé une épreuve longue de dix semaines, tu reconnais que je m’en suis bien sorti, tu dis même que tes amoureux ne me valent pas tous pour les soins que je prends de toi, pour ma douceur, pour ma patience, pour la joie que j’ai de te voir sexuellement satisfaite… Et moi, à qui tu reconnais toutes ces qualités, tu ne m’accordes aucun droit. Pour parler franc, je vais te demander carrément pourquoi tu baises tout le temps avec eux et jamais avec moi ! »
Florence se renversa contre les oreillers que j’avais disposés dans son dos en arrivant et se laissa aller à un grand rire, en se poignant et se relevant les seins ; puis, se penchant davantage hors du drap, elle m’attrapa par le menton, attira ma bouche contre la sienne, me f o r ç a nt à me redresser à moitié sur mes genoux, et m’imposa sa langue, dans le meilleur et le plus long baiser que je reçus jamais ; et le parfum de son haleine et la saveur de sa salive finirent de me vouer à elle et à me rendre fou d’amour pour elle.
Florence se sépara alors de moi, s’adossa plus profondément aux oreillers et garda une de mes mains entre les siennes. Et elle eut ces paroles merveilleuses : « Tu veux savoir pourquoi je t’ai infligé ce test ? Eh bien, c’est parce que je pense que tu seras pour moi le meilleur des maris, et parce que j’ai envie de t’épouser. Que je le veux, même ! »
Florence me regardait en souriant ; et moi : « Mais ma chérie, je ne comprends pas ! Il n’y avait pas besoin de toutes ces épreuves. Tu n’avais qu’à parler… Tu sais bien que j’ai toujours été fou de toi, que j’ai toujours rêvé de devenir ton mari, de vivre à ton côté, dans ton ombre… »
Florence secoua sa jolie tête, faisant voler ses cheveux autour de ses épaules : « Justement, c’est pour cela qu’il fallait que tu subisses ce que je t’ai imposé ! Parce que je voulais m’assurer que tu le pouvais-, que tu le supporterais pour l’amour de moi, que tu ferais tout pour me plaire et me satisfaire ! »
Florence, pendant que je me penchais sur ses mains pour les lui baiser, avec des larmes de joie plein les yeux, me porta alors l’estocade : « Tu dois me comprendre, mon chéri. Je voulais être certaine qu’une fois mariés, tu ferais tout ce que je voudrais, avec qui je voudrais, et que tu serais tout à moi ! Et surtout que je pourrais te garder chaste sur de longues périodes, pour que ton manque sexuel te conduise à tout accepter, et à me servir… »
Florence changea subitement de ton : Dans le premier tiroir de la commode, tu trouveras un collier en métal avec sa clé. Va le chercher immédiatement.
Auteur Slavio
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